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Tel, un gosse qui saute à pieds joints dans une flaque d'eau, il faut bien reconnaître que les zones de bourbier sont souvent très tentanes avec un 4x4. Mais si les bienfaits des boues thermales sont reconnus sur les êtres umains que nous sommes, il n'en est pas de même pour celles qui ornent parfois nos petits chemins creux et qui collents sous le ventres de nos véhicules. Une fois de plus la raison devra domnier la passion, même si sur ce genre d'osbtacle le danger est plus mécanique que physique.
Généralités . Bon alors puisque de toutes façcon vous avez décidé d'y aler, autant respecte certaines règles. Face à ce genre d'obstacle, je ne saurai trop vous recommander la reconnaissance pédestre Juges à l'oeil de la profondeur d'une flaque de boue est une mission absolument impossible. Si vous ne connaissez pas parfaitement les lieux, il convient donc de vous munir d'un bâton ( et de bottes en caoutchouc ) afin d'aller sonder le bourbier en plusieurs endroits. Par la même occassion, essayer de repérer la précence éventuelle de grosses pierres ou de gros morceaux de bois qui sont autant d'obstacle pouvant stopper net votre progression, voire même endommager votre véhicule. Dans un bourbier, la visibilité aux niveau des roues est réduites à zéro. Il vaut donc mieux s'y aventurer en première courte pouyr juger de la motricité. En cas de plantage à basse vitesse, vous pourrez toujours reculer dans vos traces. Certes, l'utilisation de la seconde reste une solution plus efficace car les roues " enroulent " davantage et elles ont moins tendances à patiner. Cependant cette option énergique ne doit être utilisée que si l'on est absolument certain de l'absence d'obstacles dans le bourbier. Avertissement . Indiscutablement, un 4x4 qui passe à fond dans un bourbier ca faite une belle photo. Certes, mais au bout de compte, cela peut faire aussi une belle addition. Les projections de boue colmatent les radiateurs, ce qui entraine d'importantes riqes de surchauffe pouvant aller jusqu'a la casse moteur. Ne perdons pas non plus de vue qu'une flaque de boue contient des millions de grains de silice en suspension, autant de particules abrasives qui vont s'infiltrer un peu partout dans les transmission, les souffles d'amortisseurs, les corps creux du chassis, voire même dans certains périphériques du moteur etc ... Bref de stas d'endroits où les mouvements mécanique de frictions et de rotation ne feront qu'acentuer un effet papier de verre qui à la longue, pourrait bien s'avérer dévastateur. Les Pneumatiques . Si des pneus mixtes d'avèrent souvent efficaces dans de nombrex terrains ( pistes roulantes ou caillouteuses, rochers, sable, asphalte et même sous la neige, en ce qui concerne la boue il n'y a pas d'autre choix que les pneu Mud ). Sans parler des pneus d'origine, souvent à profil outier, qui sont à banir d'office pour quelqu'utilisation que ce soit en tout terrain, les pneus mixes aussi bons fussent-ils, se retrouveront " pleins " en moins de temps qu'il ne faut à un homme politique pour lancer une promesse qu'il ne tiendra jamas. Une fois gavés de boue, leur moticité deviendra quasiment nulle. Même si dans certains cas les pneus à profil mud, c'est-à-dire avec des bandes de roulements ( et parfois des flans ) à gros crampons largement espacés, se retrouvent en éhec, il restent à jour la meilleur solution pour sortir de ce genre de difficulté. Néanmoins, pour que les crampons soient efficaces, il faut que le penu puisse " travailler ", c'est-à-dire se déformer assez facilement pour évacuer la boue. Plus le bourbier est gras et lourd, plus il convien d'utiliser une pression basse. Sans prendre trop de risques, l'on peut baisser la pression d'un pneu tubeless ( sans chambre à air ) à environ 1 Bar. Un pneu disposant d'une chambre à air peut lui, supporter une baisse de pression jusqu'a environ 0.7 Bar, parfois moins. Dans les bourbier très liquides, l'on retrouve une loi élémentaire : " l'eau n'est pas compressible ", le moteur ne doit donc en avaler en aucun car. Si votre 4x4 n'est pas équipé d'un schnorkel, jugez bien de la profondeur du passage à franchir et de la hauteur de votre entré d'air. Une entrée sage et à basse vitesse, permettra également de limiter les chocs thermique, principalement sur le trubo et sur le collecteur d'échappement qui sont les deux léments les plus chauds dans le compartiment moteur. Comme pour le gué, il faut donc éviter de traverser un bourbier " à la barbare ", même si votre bon pote photographe vous y incite. Plus les 4x4 sont modernes, plus ils sont gavés d'électronique et craignent donc ce genre de mauvais traitement. Dans tous les cas, lors d'une traversée de bourbier, il est important de conserver une accélération aussi constante que possible. Le tout terrain n'état pas une sciences exacte, et les véhicules 4x4 n'étant pas pas des chars d'assaut, le franchissement est un art qui a donc ses limites. Avant tout, le conducteur doit être conscient des sciennes et oeuvrer vec modestie même dans un segment où il se sent à l'aise. Le bon pilote, c'est celui qui sait évaluer, l'obstacle à sa juste valeur, estimer correctement le danger et parfois, renoncer. Lavage . Si elle n'est pas forcément la plus amusante, l'étape du lavage d'un 4x4 après un passage dans un bourbier est par contre certainement l'une des plus importantes. En effets c'est d'elle que va dépendre en grande partie, la durée de vie de votre 4x4. Pour ce faire, n'hésitez pas à vous munir de bottes et d'un combinaison de travail. Sur un plan plus anecdotique, sachez que le cycle de lavage est former de 4 paramètres bien distinct, mais qui fonctionnent tous en symbiose. Ainsi le temps, la température, la pression e le détergeant forment à eux quatre cent pour cent du lavage. Pour que le cycl soit complet, ces qutre paramètres doivent s'équilibrer entre eux. Si l'un d'entre eux est plus faible, voire absent, les autres doivent être plus forts pour compenser. Je vous conseille de laver soigneusement votre véhicule dans les meilleurs délais après votre sortie du bourbier. En effet, il est beaucoup plus aisé de retirer la boue si elle n'a eu le temps de sécher. Si retirer la boue sur la carrosserie n'a pratiquement qu'un inérêts esthétique, c'est sous le véhicule qu'il faudra consacrer le plus de temps. L'important est de nettoyer en priorité tous les organes de sécurité ( freins, intérieurs et extérieurs des jantes ), les organes mécaniques ( transmissions, ponts, boîtes ), les élèments de visibilité ( vitres, rétroviseurs ectérieurs, phares, et feux et plaques minéralogique ) et bien évidemment le ou les radiateurs en prenant garde de ne pas approcher la lance à haute pression trop près des alvéoles car la puissance du jet pourrait les faire plier et les endommager. L'idéal pour un bon lavage est bien sur le pouvoir disposer de rampes de levage afin d'accédes facilement sous le véhicule. En sortant de l'aire de lavage, il est prudent de " sécher " ses freins en les essayant deux ou trois fois dans un endrois sans risque. La source de cette article est le Magazine Génération 4x4